[entraînement solo force] vouloir toujours être meilleur le lendemain !

Toujours cette envie d'être meilleur qu'avant, s'améliorer de jour en jour, affiner mes compétence dans le combat pourtant déjà excellente. Mais je voulais toujours aller plus loin !

Ce matin, l'entraînement n'allait pas être de mordre les arbres, mais de faire une simulation d'un combat ! j'aimais ça ! j'avais l'impression de revivre les actions du passé dans d'anciens affrontements.

J'étais dans les bois, dans la taiga du silence. C'était mon lieu d'entrainement ! c'était calme, paisible, plein d'arbre, d'obstacle, de roche...un terrain parfait ! Je me positionnais dans une clairière, en face de mois, j'imaginais un rénégat voulant m'attaquer, suite à un contrat. On était face à face, et celui-ci chargea en premier. Je fonçais vers lui aussi à toute blinde, et avant qu'on ne risquait de se heurtait, je l'esquivais vivement vers le coté, pour me retrouver à ses flancs, et un coup de croc à l'épaule, puis je m'avançais plus loin. Je me retournais, mon adversaire fait de même, avec une morsure en prime. Je fuyais ensuite en courant pour l'attirer vers moi, une "fausse fuite". Celui ci me poursuivait. Je me retournais à nouveau vers lui, l'attendant tranquillement. Quand il chargea une nouvelle, je décidais de rester immobile, je l'attendais pour le réceptionner. Quand il se trouva à quelques mètres de moi en courant, je fis une esquive en bondissant, et y laissant une dans sa trajectoire. A peine il trébucha, à peine j'assénais déjà mes crocs dans sa nuque pour le porter, et l'envoyer contre un arbre de toutes mes forces. Il était sonné, mais se releva de plus belle, et bondit sur moi. Je tombais à terre, lui sur moi, et avant qu'il approchait de trop près sa gueule vers mon cou, je plantais mes crocs dans son museau, cela le désorientait, et j'en profitais pour le dégager de moi à coup de patte arrière. A mon tour je bondis sur lui, en mordant plus fois à la nuque, je secouais fort, afin de l'endommager un maximum, je le terminais à coup de croc de sa tête. c'était fatal ! il succomba.

Je soufflais fort, un combat était toujours épuisant, ça revenait au même qu'une chasse...Je marchais un peu pour me ressaisir tranquillement, profitant de la fraîcheur de cette région.