retrouvaille( prio esperanza)

Cela faisait un moment que je l'avais plus vu. Elle me manquait terriblement. J'étais dans la galerie des reflets, c'était ici qu'on s'était rencontré la première fois...elle était exactement ici, entrain de s'observer devant ce miroir de glace...

Quand elle s'était retourné, et sa voix, son accent, j'étais ailleurs... je pensais tellement à elle, mais cette événement nous avait séparé, et je ne l'avais plus vu. Me demandant si elle avait survécu, une odeur venait titiller ma truffe...une odeur qui me soulagea, car celle-là, je l'a connaissais !

Tout ces combats, Esperanza ne voulait plus en entendre parler, elle avait marcher pendant bien deux jours pour partir du temple et rejoindre le kohinoor, son esprit était comme ailleurs pendant toute la durée du voyage, elle avait arpenter plusieurs coin des divers territoires de Sarkan et elle était tombée sur Iselwyn qu'elle trouver bien jolis, un peu trop vert à son gout, surement parcequ'elle a toujours vue de la neige et rien que de la neige.

La louve arrive vers la galerie du reflet, regarde autour d'elle puis décide de faire une pause avant de filer vers le kohinoor. Toute cette marche l'avait épuiser. Et ses chaleurs n'arranger pas la situation, heureusement, elle avait croiser personne.

Esperanza rentre dans les couloirs et marche gaiement avant de sentir une autre présence.. La louve se prépara à grigner mais vite, elle se calma car devant elle c'était croc Blanc, son compagnon. Il en fallait pas plus pour qu'elle prenne son élan et lui saute dessus pour un calin.
Cette épreuves de combat était finit et lui aussi n'avait rien eut.

J'entendis des pas derrière moi, jusqu'à ce que j'apercevais une silhouette sur le miroir, une louve crème...Esperanza ! à peine que je me retournais qu'elle était déjà sur moi entrant de faire un câlin. De mon coté, je la serrais très fort contre tout en frottant ma truffe contre la sienne , et coller ma tête contre la sienne.

-Tu m'avais si manqué, j'étais entrain de m'inquiéter.

Lui murmurais-je à l'oreille. Je lui faisais de gros câlin, de grosse léchouille contre sa joue et son front, je l'enlaçais. Tout n'était que tendresse, jamais je ne pouvais me séparer d'elle. Tout n'était que passé, maintenant c'était le bon moment entre nous. Je lui ajoutais à l'oreille.

-Je me suis occupé de Téquila, je lui apprends à chasser en ce moment.

Puis en l'observant un peu, je lui demandais.

-ça va, tu n'as rien ?

"Téquila, j'espère qu'elle va bien surtout après ce qui c'est passé, j'étais comme folle, comme prisonnière sur une envie de tout détruire.. Je voulais attaquer tout le monde... J'espère qu'il ne lui est rien arriver de mal"

Esperanza regarde juste les blessures qu'elle avait aperçut en revenant de ce cauchemars mais en les cherchant, elle ne voyait pas grand chose, comme si les blessures avaient diminuer d'un coup.. Encore une oeuvre de Sarkan et de ses nombreux secrets.

La louve continue d'inonder son compagnon de bisous et de lèches avant de rajouter pour le rassurer:

"Rien, je n'ai rien eu de spécial, a part des bleu, des blessures qui semblent disparaitre, et toi tout va bien? Tu n'as pas eut trop de difficultés? "

-Téquila, j'espère qu'elle va bien surtout après ce qui c'est passé, j'étais comme folle, comme prisonnière sur une envie de tout détruire.. Je voulais attaquer tout le monde... J'espère qu'il ne lui est rien arriver de mal

Je lui fis un signe positif comme quoi elle allait bien, malgré cela, je me donnais l'obligation de lui dire ouvertement.

-Elle n'a rien, juste très choquée, à la sortie du temple, elle a sauté contre moi en sanglot. Elle a vraiment confiance en moi. Elle se sentait en sécurité, mais se demandant où tu te trouvais. Te voilà.

Elle me faisait d’innombrablement bisous, câlins, c'était ça que j'aimais, une retrouvaille, être aimé. Je l'avais encore serré contre moi, sa seule présence me rassurait !

-Rien, je n'ai rien eu de spécial, a part des bleu, des blessures qui semblent disparaitre, et toi tout va bien? Tu n'as pas eut trop de difficultés?

Je répondis aussitôt.

-Pour ma part, rien non plus, je me rappelle d'une attaque, d'une voix puis...dans le temple.

Je l'a poussais tendrement au sol, le dos de esperanza au sol, on était ventre contre ventre, moi toujours entrain de lui caliner le cou, puis je lui murmurais àl'oreille.

-Et sinon, à la prochaine chaleur, ça te dirait de...enfin...d'avoir des petits ? avec moi ?