Un nouveau monde (libre)

Il avait finit part traverser l’entendu d’eau pour rejoindre Néona, il semblait y faire un peu moins froid ces dernier temps, ce n’était pas pour lui déplaire, il avait longuement marché sur la plage pour se réchauffer après avoir pataugé dans l’eau. Heureusement qu’à certain endroit il y avait assez de glace pour marcher dessus tranquillement. Après avoir cherché une souris, un poisson un oiseau à se mettre sous la dent, il n’avait de nouveau rien trouvé, il comment a maigrir dangereusement, mais ces forces était encore la, sa blessure, ne semblait décidément pas vouloir se cicatriser, peut être devrait ‘il attendre le retour du beau temps pour qu’elle se soigne. Un
 
Il c’était couché dans un cas de la plage, assez cacher part l’amas de neige, se roulant dedans les pattes en l’air, oui il était entrain de pété un câble. Il remarqua alors une silhouette se dessiné entre ses pattes, soulevant sa tête pour examiner ce qui venait de le rejoindre, il surprit une louve de couleur crème assez proche de lui, un « ho ? » sortit de sa bouche restant sur le dos…ben oui il c’était coincé dans un creux cacher part la neige.

Fenrir observa la jeune approché, et quand elle tourna les yeux sur lui il ne put s’empêché d’affiché un sourire béat, Qu’il avait l’air idiot dans cette position mais part fierté, la quelle il ne le sait pas ! Il fit un gros semblant de rien quand elle demande s’il avait besoin d’aide. Il sourit de nouveau comme un béta. Grattant le coté de son oreille comme ennuyé.
 
-Fenrir n’a pas vraiment le choix.

 
Répondit-il en rigolant, tentant de se dégager de la, mais ce fut inutile pour le roux, il plia ses pattes sur son ventre, pour regarder la louve crème.
 
-Fenrir aime bien la neige t’en qu’elle le ne le coince pas.
 
Il a tendance à parlé à la troisième personne lorsque qu’il est gêné ou ennuyé, voir apeuré. Sa queue remuait lentement, malgré tout amusé part la situation heureusement pour lui, il semblait être tombé sur une louve au bon caractère.

Le roux fut redressé, puit avec le sourire observa la louve s’amuser dans la neige, après tout c’était encore une jeune louve. Elle se présentait à lui, mais le faire à son tour serait un peu ridicule. Quoique pouvait-il spécifié qu’il est Solitaire vu que celle-ci lui avait dit appartenir - une meute ?

-Je suis solitaire.

Répondit-il tout en tournant la tête sur le coté pour éviter les projectiles de la louve qui semblait heureuse dans cette neige.

-Ha tu veux jouer à ça !

Répliquait-il sur le ton du jeu, se retournant pour être dos a Espéranza, il grattas le haut de la poudreuse pour l’envoyé vers la louve tout en prenant garde a ne pas gratter trop près du sol et risqué de lui envoyé des cailloux qui pourrait la blessée part erreur.

Fenrir commençait à ce faire vieux pour ces enfantillages, mais au fond de lui n’était-il pas resté un grand enfant ? Il coursa la louve, il a de longues pattes mais ce n’est pas tellement pratique dans la neige lorsque l’on ne voit pas ou elles sont posées. Il trébucha plusieurs fois sans pour autant se faire mal, c’était plutôt sa plaie qui le tiraillait, mais étrangement le fait de jouer comme un gamin, lui fit oublié celle-ci.

-Je suis ici depuis un bon bout de temps maintenant, mais il semblerait que tous les loups se sont réveillés sur cette île étrange. Ravis que cella te rappelle ton chez toi, la d’où je viens c’est plutôt aride et très chaud, j’ai de la chance que ma fourrure ce soit adaptée a la température il y a peu je crevais encore de froid.

Riait-il, sautant un petit amas de neige, alors que la louve le laissait sur place, il accéléra pour tenter de la rattraper, il pensait vraiment pouvoir le faire quand, sa patte glissa sur une plaque de glace cachée part le neige, il glissa tombant la tête la première dans la poudreuse, se redressant le corps allongé de tout son long, la tête recouverte de neige. Il parti en fou rire, cela fessait longtemps qu’il ne s’était pas sentit aussi bien. Le loup restait comme ça, haletant reprenant un peu difficilement son souffle, il n’était plus tout jeune non plus.

Alors que la louve lui laissait reprendre son souffle, il fut étonnée part l’approche de celle-ci jusque ici les loups avait plutôt gardé leurs distance avec lui qui est solitaire. Pas que cela lui déplaise au contraire pour une fois qu’un loup réagissait avec lui comme si il était son égal. Il s’assit portant son regard sur les environ.
 
-Je ne dirais pas que c’est un paradis mais ce n’est pas mal comme endroit. Je pense que tu pourras facilement te faire des amis dans ta meute, je ne connais pas vraiment les meutes, en temps que solitaire, je ne suis pas vraiment bien vu.
 
Il s’étira portant sa tête sur le coté pour venir se gratter l’oreille de son postérieurs. Puis posa de nouveau les yeux sur Esperanza.
 

-Tu as toujours vécue en meute même dans ton ancienne vie ?

Fenrir l’écoutant à son tour, tournait une fois son regard sur elle, une fois vers l’horizon, la neige commençant doucement à retombé. CE que la louve lui disait le fit sourire, elle avoir des difficulté a se faire des amis ?
 
-Toi avoir du a te faire des amis ? Rit-il.
 
Ne pas avoir de dominant, cela n’est pas forcément vrai, car jusqu’ici Même si il n’obéît à aucun ordre, Il c’était soumis plusieurs a d’autre loups quand il était chez eux. Pouvait-il avoir une servitude dans une meute ? Il n’a pas doué pour la chasse, garder les terres lui serait difficile vu sa dentition inférieurs a celle des loups communs.
 

-J’étais aussi solitaire, les mœurs de notre espèces différents des vôtre, nous sommes seul ou en couple sur notre morceau de terre sans aller sur celle du voisin ou occasionnellement, mais il n’y a pas d’alpha ou de chasse pour la meute, juste soit et notre âme sœur quand on en a une.
 
Il sourit en baissant les oreilles, pour faire un genre de grimace comique.

(Désoler pour l'attente je passes mes derniers exams :s )

La question de la louve mis a froid au loup, qui se mit à rire nerveusement, il se coucha se roulant sur le dos.

-Ha ha je n’ai encore jamais eu de compagne jusque ici, mais je pense que même en temps que solitaire être avec au moins une compagne est plus agréable que seul.

Se roulant dans la neige, qui se colle dans sa fourrure devenue un peu plus épaisse ces derniers temps. Son ventre se mit a crié famine, il se redressa en souriant stupidement à Esparanza.