[entraînement SOLO FORCE] rester bon guerrier !

Des claquements, des bruissements, des mouvements, des soufflements...c'était ce que l'on pouvait entendre dans la Taïga du silence, qui brisait le calme, dans la fraîcheur du matin. Aujourd'hui, je m'efforcer à m'entraîner encore une fois en force, depuis l'agression de la part des renégats, cela m'avait légèrement mit un peu sur les nerfs. Mais qui était l'ordure capable de viser Esperanza ? si jamais j'avais la connaissance de cet individu, il était mort ! ou un sacré avertissement ! Et je n'allais certainement pas passer par les renégats pour un contrat, et encore moins ce qu'ils venaient de faire !

J'étais dans une clairière, bordée d'arbre et quelques roches submergeant du sol. J'imaginais un adversaire, fou furieux. Mes muscles se contractaient, mes crocs acérés se dévoilèrent, près à en découdre. Tous deux, chargions face à face à pleine balle. On était sur le point de se rentrer dedans, mais cette fois ci, j'allais changer de méthode, je changeais souvent mes attaques, pour éviter que l'ennemi avait une connaissance sur moi. Au moment où l'on risquait de se rentrer dedans, je m'élançais sur le coté en l'esquivant de peu, et en faisant un bon, je plantais mes crocs aussitôt à sa nuque, et je les enlevais aussitôt, continuant ma course un peu plus loin, un peu comme un toréador plantant ses couteaux dans un taureau.

Cela demandait beaucoup de force au niveau du coup, de l'articulation. Cela demandait de la précision.

Je me retournais, face au loup mécontent d'être tourné en bourrique, et je rechargea à fond, et cette fois-ci, je le rentrais dedans en y mettant tout mon poids. Quand il était à terre, je bondissais aussitôt sur lui, prenant sa nuque, et je le secouais violemment. Je profitais aussi des roches pour fracasser sa tête contre. Puis je mordais rapidement sous son cou, faire le plus de morsure en un temps limité ! une fois deux fois trois fois ! ça infligeait des dégâts phénoménales. Cela demandait de la force considérable au niveau des muscles du cou et de la nuque ! il fallait être sec et énergique, mes muscles chauffaient ! Et d'un coup violent, je retournais sa tête comme celle d'une proie pour détruire sa nuque. La mort lui avait tendu la main !

Je me reposais un peu en marchant en rond, les muscles étaient tendus, chauds, mon cœur battait...mais j'aimais ça ! c'était le principal !