Vient t'amuser dans la neige ! [Libre]

HRP:

Il fait froid ici ! Mais tant mieux, j'aime le froid, la neige, l'eau ! Je me suis réveillée il y a peu de temps ici, et enfaite je pense que ce n'est pas si mal. Du moment qu'il y a de la neige... Mais il pleut, et cela me gâche un peu le plaisir. Mais pourquoi je me pleins ? La température doit être en dessous de zéro et mon pelage est parfais pour ces températures. J'avance un peu, je cherche quelque chose mais quoi ? Sûrement pas une meute. Enfaite, je ne cherche rien, je m'ennuie. Je creuse un peu dans la neige et me roule dedans. Je saute partout, je suis heureuse. Je n'était jamais venue ici au paravent. J'aimerais plongé dans l'eau mais je vais vraiment avoir très froid. J'observe. Et puis aller, soyons fous ! Je saute dans l'eau, qui est vraiment très froide. Elle n'est pas très profonde, du moins où je suis, et le courant et faible. Je batifole dans l'eau, seule, mais je m'en fiche. Mais bon, je l'avoue, de la compagnie ne pourrais me faire que du bien. C'est une belle journée qui s'annonce devant moi.

Aiko revenait des terres de Néona. Il n'avait encore jamais visiter ce territoire qui avait l'air si froid vu d'Iselwyn. Plus le mâle marchait vers le Kohinoor, plus le poil du mal s'hérissait, non par énervement, mais uniquement parce qu'il avait froid. Tout était si blanc, si froid. Jamais Aiko n'avait jamais vu un paysage aussi différent. Il avait du mala humer l'air afin d'y sentir une éventuelle odeur de loup de meute, il n'avait pas tellement envie d'en croiser un. Une bagarre serait mal venu, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas dormi et il avait juste besoin de voir de nouvelle tête et de se changer les idées.

Il venait de quitter Plio à la plage. La différence de température étant flagrante entre les deux terres. Ses coussinets et ses pattes commencaient à s'endormir au contact de cet épais manteaux blancs. Baissant la tête le sentir, il tribucha sur un trou et plongeala tête la premiere dedans. Se relevant, il avait sa tête toute enneigée, donnant un petit cachet mignon et amusant au loup. Secouant sa tête, il posa soudainement son regard sur l'horizon et observa une louve blanche au couleur de ces terres ... Blanche. Il ne bougea pas, la fixeant attendant de voir sa réaction juste au cas où

Je relève la tête. Un autre loup ? Super. Je me jette sur des rochers pour rejoindre la rive. Je sute sur le loup, gris-brun le faisant rouler sur la terre. Puis je me relève, pour qu'il puisse se libéré. Puis je l'observe toute folle et battent de la queue.

- Désolé de mettre jeter sur toi. Dit-je d'un ton plus calme.

Mais c'est un loup et je n'est pas l'habitude d'en voir ses jour ci, alors forcément je suis heureuse.

- Je suis Kora, et toi ?

Je m'ébroue, trempée arrosant au passage le mâle. Il est maintenant mouillé. De toute façon je vient de lui sauter dessus, il est forcément mouillé . Je pense qu'il vient d'une meute, mais laquelle ? Il n'a pas l'air à l'aise.

- Qu'a tu ? Froid ? Il fait bon ici.

Comment pouvait-il avoir froid ? C'est la température idéale je trouve. Mais ma fierté me rattrape. Je lève la queue et le oreilles. Bah oui, je veut quand même montrer que même si je suis joueuse, je sait me montrer calme, et dominante. J'aimerais qu'il montre au moins un signe de soumission, sinon, je pense que ça ne va pas aller long temps. Quiconque ne se soumet pas à moi repart avec ma haine sur le dos.

Le mâle avait regarder la femelle monter sur des rochers pour le rejoindre de l'autre côtés. Mais il ne c'était certainement pas douter qu'elle lui sauterait si vite dessus. Joueuse ? Aiko l'était aussi mais pas si rapidement. Il était de nature très méfiante. Se relevant il s'ébroua de tout son long entièrement mouillé par la neige et par l'eau que lui jetta la femelle. Il avait maintenant encore un eu plus froid qu'a son arrivé ici.

Il l'écouta donc ce présenter. Montrant alors un signe de dominance, Aiko avait beau être un mâle tranquil, il n'aimait pas se soumettre à une louve qui ne faisait pas partit de la même meute que lui. Mais il n'avait pas envie de se battre non plus. Sa queue était rester basse, il ne montra pas de signe de soumission mais aucun de dominance non plus. Il resta neutre tout en lui disant d'un même ton

- Pas de soucis.... Moi c'est Aiko.

Comment allait - elle réagir ? Allait - elle lui sauter dessus ou partir ? Il recula alors de quelques pas, les oreilles légerment basse mais pas plaquer sur son crâne qui avait accueilli quelques flocons de neige. Il avait juste besoin de s'amuser lui aussi, de ce changer les esprits.

Le mâle me répond.

- Pas de soucis.... Moi c'est Aiko.

Aiko ? Il ne se soumet pas, il reste neutre. Il recule un peu et baisse légèrement les oreilles. Ce n'est pas assez pour une louve comme moi. Je gronde, découvre un peu mes crocs et me fait haute. Je ne dit rien, je perdrais toute ma crédibilité. Il a envie de jouer ? Si il veut, mais dès qu'il aura montrer un signe de soumission. J'entend l'eau qui coule et elle me donne envie de replonger, mais je ne vais pas le faire, je tient tête au loup en face de moi.

Spoiler:

( pas de soucis ce soir c'est panne d'inspi pour tout le monde lol )

Aiko regarda alors la femelle qui n'avait pas l'air écider a lacher l'affaire. C'était un loup, un mâle et se soumettre aussi facilement a une femelle même dominante qui ne faisait pas partie de sa meute n'était pas possible. Le mâle ne changea donc pas son comportement. Pour qui ce prenait - elle ? Se redressant légerment, il n'avait pas envie de ce battre, mais pas plus que de lacher ses idéau. Il avait peut - etre un peu trop de fierté mais finit finalement par lacher l'affaire. Il se soumit alors quelques secondes puis se redressa sans un mot, les oreilles légerment couché.

Il ne la lacha pas du regard, restant méfiant. Il ne ommencait déjà pas tellement à l'apprécier. Elle était bizarre avec ses manières plutot hautaine. Il commenca alors a marcher tout en la gardant dans son champ de vision. Passant à quelques mètres de la louve, il alla se mettre près d'un arbre.

Le loup lâche enfin prise et se soumet. Peu de temps, mais il l'a fait, se redressent avec les oreilles légèrement en arrière. Voilà qui est mieux. Je veut qu'il sache que c'est moi qui commande. Je baisse la queue et reprend mon petit jeu. Je tourne en rond et me roule sur le sol, blanchis. Je me retourne, heureuse puis me dirige vers l'eau. Je tourne la tête, invitant Aiko à venir. Je retourne vers lui en courent, tourne une fois autour de lui puis fonce au bord de la rivière et me jette à l'eau.

- Vient ! Elle est bonne !

Enfin, elle est fraîche, mais lui qui n'aime pas avoir froid, je doute qu'il vienne. Le courent s'accélère, ma patte glisse et mes pattes ne touches plus le fond, la rivière m'emporte.

Aiko avait regarder la femelle qui c'était radouscit au vu de son comportement de dominante. Il l'a regarda alors près de son arbre en train de s'amuser comme si les quelques minutes avant n'avaient jamais exister. Comme si elle n'avait jamais quitter ce comportement de petite louve. Lorsqu'elle l'invitant a la rejoindre dans l'eau, Aiko la regarda encore tout simplement. Il n'avait pas envie d'aller dans l'eau en tout cas pas par cette température.

Lorsque soudain, il la vit, emporter par le courant. On aurait dit qu'elle n'avait plus pattes et n'avait aucun moyen de se retenir. Aiko ne savait pas où ce cours d'eau se terminait mais il n'avait pas envie de la laisser ce noyer. Essayant de garder son calme, il devait faire vite, très vite. Il regarda tout autour de lui et heureusement appercu une longue branche qui avait l'air solide non loin de lui. Courant alors vers ce bout de bois, il l'attrappa entre ses crocs et continua sa course vers l'eau. Les pattes planter dans la neige, la branche dans l'eau, forcant sur son collier afin de la maintenir a la surface du cours d'eau aussi loin que possible.

J'ai la tête sous l'eau, je ne le vois plus. Mais que fait t-il ? Je ressors ma tête de l'eau puis vois une grosse branche à la surface, et à son extrémité, Aiko. Mais elle est encore loin devant moi, et le courant ne cesse de m'emporter, ma tête retourne sur l'eau, j'essaie de la garder haute, mais ça à l'air profond. J'arrive enfin à la ressortir. Mais où est la branche ?! Je me retourne, je l'ai dépassée, de peu. J'essaie de remonter le courant, mais c'est difficile.

- Approche là de moi !

Ma tête retourne sur l'eau, et cette fois, je n'arrive pas à la ressortir. Je ne vois plus rien si ce n'est que la poussières du fond que je remue avec les gestes de mes pattes. Je commence à faiblir. Mais où se termine cette rivière ? Je nage, mais quelque part au fond de moi, je me dit que c'est trop tard. Le fond ?! C'est ça que je touche ? Non, ce n'était qu'une bosse, je ne touche rien. Je suis affaiblie, mais je ne peut renoncer à nager. Il me faut de l'oxygène, et ça...

Aiko a regarda alors sans rien pouvoir faire de plus que de lutter a tenir la grosse branche dans sa gueule. Elle était en train de ce noyer et venait de rater ce que le mâle lui tendait. Mlaheureusement, il ne pouvait pas être aussi rapide qu'il le voulait pour aller la secourir avec ce bout de bois. Decidant alors de le remonter a la surface pour le lacher dans la neige, il courru vers la louve et tenta de la retrouver sous l'eau. Heureusement elle était clair mais le remu qu'avait crée la femelle troublait la surface.

Ses yeux vacillaient continuellement jusqu'a appercevoir ce pelage blanc a travers un fouillis de couleur brune. Aiko n'avait pas le choix, il devait sauter et la rattrapper. C'est donc ce qu'il fit, il sauta dans l'eau mais ne senti pas la température, trop occuper a chercher Kora. Prenant une grande respiration, il plongea sa tête sous l'eau et finit par l'appercevoir, sans force. Nageant dans le sens du courant il reussit a être a son niveau. L'attrappant avec sa machoire par le collier, il nagea vers le côté de la rive. Essayant en vain d'atteindre le sol sous ses pattes. Du fait de sa taille légerment plus grande que la femelle, il toucha le fond de ses griffes mais cela ne suffisait pas. Les muscles saillants, Aiko donna de toute ses forces afin de la ramener vers le rivage qui ce trouvait pas bien loin d'eux essayant u mieux qu'il pouvait de garder sa tête a la surface pour qu'elle reprenne du souffle

Je sent tout à coup les crocs du loup sur mon collier. Il me remonte un peu à la surface, je reprend de l'air. Bientôt j'aperçois...plus rien ! Nous sommes emporté, mais où ? Je me retourne, je neveut même pas voir ça...
Mais je ne suis pas morte ! Aiko non plus d'ailleurs. C'était juste une petite descente, et le courent est redevenue faible, et mes pattes touche enfin le fond.

- Lâche moi, je vais bien !

Je me débat. Je n'ai pas envie de reconnaitre qu'il m'a sauvé. Sans le peu d'oxygène que j'ai gagner grâce à lui, je n'aurais pas pu m'en sortir. Je remonte sur le sol, trébuche par terre et observe le mâle. J'attend qu'il revienne. Je ferais plus attention la prochaine fois. Mais je suis bien trop fière pour avouer qu'un mâle m'a sauvé. Mais qu'est-ce que je fait par terre ? Ça montrerais ma faiblesse au loup. Je me relève alors et m'ébroue. Je suis toute sale, je ne supporte pas ça. Je m'assois, jette un coup d’œil au mâle puis commence ma toilette. Après tout, ce n'est qu'un loup de meute.

Le courant devenait de plus en plus fort et le mâle n'arrivait plus a remonter l'eau, n'ayant plus de force. Ils se laissairent entrainer dans une petite chute d'eau qui n'était en rien dangereuse. Une fois en bas, le courant était calme et le mâle, la tête sous l'eau lacha prise. Remontant à la surface, il reprit son souffle et regarda alors la femelle qui lui avait demander de la lacher. Les pattes sur le sol, il marcha doucement vers la rive.

La femelle tomba au sol, mais lemâle n'emprassa pas sa foulée pour autant. Il lui avait quand même sauver la vie et elle se permettait de le traiter comme un vulgaire chien de salon ! Heureusement que le mâle ne faisait pas cela pour la gloire .... Il savait ce qu'il avait fait et ne pas laisser une mort sur sa conscience était amplement suffisant. Les deux loups étaient sales, pleins de terres, de sable et autres déchets naturels. Tandis que la femelle commencait sa toilette, Aiko sortit a ce moment de l'eau. Il s'ebroua, ébourrifant son poil. A quoi cela servait qu'il reste a ses côtés ? Il en avait marre de passé pour une mauviette, marre de se faire rembarer ! Se posant a quelques mètres de la louve, il commenca sa toilette a son tour afin d'enlever un maximum de saleté.

Je donne un petit coup d’œil au mâle et me retourne de suite. Si il attente un merci, il va l'attendre long temps. Jamais je ne m'abaisserais à remercier un mâle. Il ne se croirais que plus fort, et je ne le veut pas. Je me lève, et lui dit d'un ton franc.

- Si c'est merci que tu attend, tu va pouvoir l'attendre long temps.

Puis je me rassois, et continu ma toilette. Je veut être parfaite. Être sale en sa présence m'énerve. Je ne suis à l'abri d'aucune remarque, et je n'en veut pas. Ce n'est qu'un simple loup qui à besoin de sa petite meute pour survivre. Moi, je me débrouille seule.

- De toute façon, je suis certaine que j'aurais pu m'en sortir sans ton aide !

Lâchè-je sèchement.

Le mâle coucha les oreilles lorsqu'il entendit les paroles de la louve. Le remercié ? Il n'attendait en rien une réponse pareille ! Pour qui ce prenait - elle ? Il ne fallait pas qu'elle ce donne tant d'importance. Aiko arreta alors sa toilette en ayant terminé là. Il posa alors son regard vers la louve, levant les yeux au ciel pour lui faire comprendre qu'il s'en fichait bien. Alors qu'elle lui indiqua le fait que sans lui elle aurait pu s'en sortir, le loup ne pu s'empecher de rigoler. Elle n'avait même plusd'oxygène pour respirer ! Mais bon, la fierté était apparemment accroché a certaines louves ! Il décida finalement de lui répondre sur un ton moqueur

- Et bien écoute, la prochaine fois tu te débrouilleras seule ! Mlle Fierté !

Sa fin de sa phrase fit parler avec un timbre de voix plus moqueur encore. Le mâle avait décidé de ce rebeller et de dire ce qu'il pensait. Finit de se faire marcher dessus et de se taire. Se léchant la patte qui couvrait sur ses coussinets une vilaine cicatrice, il garda un oeil sur la femelle.

- Dommage que vous soyez aussi précieuse !

Finit - il par lui dire. Elle avait un regard plutot doux et l'on pouvait ce perdre dans ses yeux. Malheureusement, son caractère était trop lunatique. Malgrè tout, il ne pouvait pas tellement lui en vouloir de souhaiter ce débrouiller seule !

Le loup lève les yeux au ciel puis lâche d'un ton moqueur:

- Et bien écoute, la prochaine fois tu te débrouilleras seule ! Mlle Fierté !

Pourquoi pas ? J'éclate de rire. Je suis assez grande pour le faire, et surtout je ne vis pas en meute.

- Dommage que vous soyez aussi précieuse !

Précieuse ? Bien sûr que je le suis. Du moins, bien plus que lui. En me sauvent, il n'a fait que se rendre un service à lui même. Il est tellement minable qu'il aurais regretter toute sa vie de m'avoir laisser couler, enfin, disons plus tôt qu'il est sûr que je suis en vie, parce que même sans son aide je serais là aujourd'hui. Je me lève furieuse. Je lui saute dessus et nous nous trouvons alors nez à nez, il ne peut plus bouger.

- Ne te crois pas plus fort que moi pour se que tu vient de faire chéri. Tu n'est qu'un pitoyable mâle de meute et les mâles ne me font en aucun cas peur. Je m'attaquerais à n'importe quel cible.

Mots prononcés avec fierté bien sûr. Fierté, mais dit dans le calme, très doucement, comme pour le narguer. Puis je me lève et tourne autour, calmement et fièrement, la queue haute et la tête haute. Il n'est que stupide et ne sert à rien. Je m'amuse avec, c'est tout. On ne peut que s'amuser avec celui là.

Aiko souria au dire de la femelle, lorsque soudain, il se retrouva sur le dos. Elle était sur lui, l'empechant de bouger. S'appercevant qu'elle ne voulait que ce montrer plus forte, le mâle n'avait aucunement l'intention de bouger la patte. Les oreilles droites, il ce releva lorsque celle- ci commenca a lui tourner autour. Un jeux ? Cela devenait un peu plus de son âge t il fallait bien l'avouer, il en avait envie. Un léger sourir en coin, il avait envie de lui montrer que c'était elle a plus forte, la plus séduisante. Rentrer dans son jeux et rester passif était la meilleure chose a faire pour s'amuser un peu.

La suivant alors du regard, elle faisait sa fier. Aiko n'était certe pas seul comme elle, mais il en avait dans la cervelle et avait un but qu'il arrivait a bien cacher. Il lui dit avec alors sur un ton doux avec un clin d'oeil en fin de phrase

- Je ne me crois en rien plus fort que toi princesse !

Il fallait qu'il la laisse faire, qu'elle domine la scene et le loup trouvait cela amusant. Il avait tout vu ici, des louves trouillardes, des coquines, des vicieuses et des princesses enfin une ! Tout en s'ébrouant de tout son long, il envoya quelques résidus sec de terres sur la femelle.

Le mâle me dit d'un ton calme et doux:

- Je ne me crois en rien plus fort que toi princesse !

Avec un clin d’œil pour finir. Princesse ? Que chercher t'il à faire ? A me charmer ? Comment ignorer un compliment ?! Je sait que les compliment sont mon point faible. Je sait aussi qu'il ne faut pas céder au compliments, surtout venant d'un mâle, mais comment résister...? Mais je le déteste. Il s'ébroue et m'envoie de la terre, sèche mais qui fait tout de même des traces sur ma fourrure. Je lui dit d'un air désespéré, puis en énervée dans ma fin de phrase.
- Mais qu'est-ce qui t'prend ?! Je vient à peine de me nettoyer ! Je déteste être sale!
Moi qui voulais jouer, je me rassois, et recommence à me laver. J'en ai marre de lui, il gâche ma journée. Je me met dos à lui et lui envoie un :

- Je te déteste.

Mais d'un air bien calme, mais pas triste. C'est moi la chef et il ne va pas s'opposer à moi en me croyant triste. Pourquoi a t-il essayer de venir s'amuser, alors que je m'ettais jeter dessus ? J'ai bien envie de recommencer, pour lui faire comprendre qu'il me gâche la vie. Mais je ne le fait pas. Je lèche ma patte, puis passe à mon coussinet. Je remarque qu'il saigne. Je lèche mais il me fait mal, un petit caillou est dedans, j'essaie de l'enlever mais je n'y arrive pas, et me fait mal. Un petit couinement de douleur m'échappe. Alors je me relève d'un bond, pour ne pas lui montrer que je suis blessée. Mais une fois en appuis sur ma patte, elle tremble, et je ne peut lui cacher que j'ai mal.

Aiko avait pas quitter la femelle des yeux et lorsque celle - ci se tourna, le mâle entendit qu'elle le detestait. Rigolant alors intérieurement, le loup en pensait tout autant. La voyant alors recommencer sa toilette, il en fut ravi. Elle voulait jouer à ce genre de jeux, et bien il allait jouer avec elle.

Cette rencontre ne ressemblait à aucune autre qu'il avait pu avoir avant et cette louve était si .... bizarre. Trop lunatique à son gout. Mais bon, pour passer le temps, cela lui suffisait. Il c'était apperçut que les surnoms charmeurs avait l'air de lui plaire et il pouvait s'en servire à son avantage.

Soudain, il l'entendit couiner et la vit pas plus tard que quelques secondes après, mettre difficilement la patte sur le sol enneigé. Elle voulait tellement lui cacher, elle en faisait tellement trop que cela n'échappa pas aux yeux du male. Mais il lui avait bien dit qu'il ne l'aiderait plus et qui plus ai, sa vie n'était pas en danger. Malgrè tout, il ne pu s'empecher de lui dire

- On c'est blesser petite fleur ? Tu arriveras bien a te soigner !

Trop tard, il l'a vu. Puis il sort sa phrase, qui me donne envie de l'attraper par le cou et de le taper contre un mur.

- On c'est blesser petite fleur ? Tu arriveras bien a te soigner !

Petite fleur... Pff, c'est ridicule, vraiment. Il à vraiment que ça à dire. Et bien sûr que j'arriverais à me soigner, ce n'est qu'un petit caillou. Pour qui se prend t'il ? Ce n'est pas parce que je suis blessée qu'il doit se croire plus fort que moi, encore une fois. C'est moi la dominante, dans n'importe quelle circonstance. Je regarde ma patte et commence à essayer de retirer le caillou, quand j'y arrive. Je le crache sur Aiko.

- Tu vois, je sait me soigner ! Je n'ai besoin de l'aide de personne, surtout pas de toi ! Et si tu
cherchais à me flatter avec Petite Fleur, détrompe toi, ce n'est pas à ma hauteur.

Bien qu'il ne me faut parfois rien... Mais pas ça. Je reprend ma marche au tour d'Aiko, mais cette fois je suis un peu plus rapide et pousse des petits grondements, de temps en temps. Toujours aussi fière. Ma fierté me tuera... Je lui saute dessus, il roule au sol et je part en courent, prennent mon élan et fonçant une nouvelle fois dessus pour ne pas qu'il se relève. Puis je m'assois en face de lui.

- Alors, c'est qui la p'tite fleur ?

Là s'en était trop ! Déjà que Madame se prenait pour une louve importante, en plus elle était bien trop fière et cela la perdrait un jour ou l'autre ! Elle avait des manières que le mâle n'aimait pas. De se dendiner tel une reine en pensant que tous allaient ce prosterner. Lui crachant alors le cailloux qu'elle avait de coincé dans la patte, le mâle coucha les oreilles.

Le mâle continua d'écouter ses paroles, bien qu'en portant peu d'interet. Lorsque soudain, celle - ci se jetta sur ce dernier, le faisant ainsi rouler sur le dos. Mais elle revint à la charge afin que celui - ci ne ce relève pas. Mais ce fût peine perdu, le jeune loup se remit enfin sur ses quatres pattes et regarda la femelle qui c'était posté devant lui, assise.

Le mâle s'ébroua alors, n'ayant pas envie de rentrer dans son jeux. A quoi cela pouvait - il bien servire ? Il n'avait pas tellement envie de ce mettre des loups contre lui mais c'était une chose inévitable et il le savait bien. Mais après tout, cette femelle n'était qu'une rebelle et n'avait pas le statut qu'elle désirait tant .....

Néanmoins, il n'en pouvait plus de son caractère et de sa manière de ce comporter. Ce n'était qu'une enfant qui faisait ses caprices ! Commencant doucement à marcher, il frola alors la femelle en grognant a son tour, les oreilles couchés. Au passage, il mit un coup d'épaule contre la louve afin de lui faire perdre l'équilibre.

- Tu n'es qu'une enfant capricieuse !

Le mâle me frôle puis me donne des coups. Il me fait perdre l'équilibre mais je me relève immédiatement.

- Tu n'es qu'une enfant capricieuse !

Moi ? Je ne suis pas une enfant capricieuse, je suis juste fière. J'en ai marre de lui, il est décidément très bizarre. Il essaye de me charmer avec ses compliments, puis ensuite il me grogne dessus, c'est n'importe quoi. Moi aussi je vais le faire tourner en bourrique, il ne va rien y comprendre. Je bat de la queue en la baissent un peu. Je pousse des petits cris plaintifs. Je lui sort une petite phrase d'une voie innocente, comme si je n'avais pas entendue qu'il m'a traiter d'enfant capricieuse quelques minutes au paravent.

- Pourquoi fait tu ça ?

Je me demande comment il va réagir. Je veut me donner un air sympathique, mais je ne vais pas aller lui faire des compliments, du moins pas pour le moment, je ne suis pas comme lui. Puis je relève la tête en ferment les yeux, je parle d'un air joueur, et tranquille. Je veut qu'il s'embrouille, qu'il n'y comprenne plus rien.

- C'est moi la plus forte, j'espère que tu le sait ?

Toujours avec fierté, bien sûr.

Le mâle continuait à archer lorsqu'il entendit la louve lui demander pourquoi il agissait de la sorte. Mais elle avait dit cela sur un autre timbre de voix que ses paroles précédentes. Un changement aussi brutal ne donnait rien de bon et ça, il le savait bien. Il était de nature méfiante mais avec cette louve, il l'était encore plus.

Il s'arreta alors, une légère brise soufflant dans ses poils, il frissona tout en l'écoutant poursuivre ses paroles. Ces dernieres avaient été ditent sur un ton enjoué mais gardaient malgrè tout un ton bien trop fier. Il ne pouvait lui faire confiance et décida de ne rien changer en son comportement.

- Crois ce que tu veux

Lui annonca t -il sur le ton d'un loup qui commencait à n'en avoir plus rien à faire. Il avait froid et la louve commencait a lui tapper sur la tête. Il la regarda une dernière fois avant de lui dire sur un ton un peu plus coquin

- Fait attention à l'eau la prochaine fois princesse !

Continuant ainsi sa route, le mâle disparu alors derrière un arbre afin de rejoindre une terre plus chaude où il pourrait se réchauffer.

Le mâle n'a visiblement plus rien à faire de moi.

- Crois ce que tu veux.

Il vient de le dire, d'un ton "je m'en fiche de toi, tu sert à rien". Il se dirige vers le bois puis se retourne une dernière fois puis me sort d'une voix coquine :

- Fait attention à l'eau la prochaine fois princesse !

Pff. Mais que faire face au compliment ? Et je m'amusais dans l'eau, je n'avais pas l’intention de me mettre en danger ! Me croit-il aussi bête ? Puis il s'éloigne et disparais derrière un arbre. Mais non !

-Reviens !

Je ne veut pas qu'il parte, je n'ai pas fini de m'amuser avec lui. Mais je ne succomberais pas à la tentation de le suivre, si il doit revenir, je veut que ce soit lui qui revienne, mais je peut toujours attendre je pense. J'attend. Je suis bien trop fière pour me déplacer où bien encore le supplier de revenir.

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