Vous êtes un loup, encore dans votre lieu d'habitation. Votre plus grande force est une qualité bien particulière. Vous êtes le plus rapide ou le plus fort, le plus diplomate ou le plus roublard... Cette qualité est votre "qualité élite", où vous surpassez les autres loups autour de vous.
Une île existe, loin de chez vous. Les loups y sont enlevés par une force inconnue. Tous ont, comme vous une qualité élite. Si deux meutes sont dirigées par des louves, une reste sans Alpha, laissant ses membres perdus, et sans ressource.
Somnolent, vous allez vous coucher... Vous réveillerez-vous au même endroit ou sur cette île au milieu de l'océan ?
Sarkan
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Vous êtes un loup, encore dans votre lieu d'habitation. Votre plus grande force est une qualité bien particulière. Vous êtes le plus rapide ou le plus fort, le plus diplomate ou le plus roublard... Cette qualité est votre "qualité élite", où vous surpassez les autres loups autour de vous.
Une île existe, loin de chez vous. Les loups y sont enlevés par une force inconnue. Tous ont, comme vous une qualité élite. Si deux meutes sont dirigées par des louves, une reste sans Alpha, laissant ses membres perdus, et sans ressource.
Somnolent, vous allez vous coucher... Vous réveillerez-vous au même endroit ou sur cette île au milieu de l'océan ?
Sujet: Une chasse en pleine sécheresse Mer 20 Aoû - 20:41
Contexte
"Petite phrase"
Après le départ d'Abyss, j'avais resté dans la tanière, un bon moment, mais j'avais encore de la peine, surtout que depuis que je venais d'apprendre qu'il avait une femelle, lui qui au départ, n'en avait pas voulu, il avait bien changé d'idée vite, puis en plus Kenshin n'était pas là et j'étais très malheureuse. J'étais couchée la tête appuyée sur mes pattes, mais en tournant ma tête, vers la droite, où le tas de gibier, je remarquais, qu'il n'avait plus grand chose. Je soupirais. Alors, je restais couchée un bon moment, mais ensuite, je décidais de me changer les idées, en allant faire une petite chasse. C'est vrai qu'il faisait chaud, mais il fallait tout de même manger. Alors, je décidais de me lever et d'aller à la chasse, comme ça, cela me ferait penser à autre chose et comme ça je rendrais également service à la meute.
Je sortis dehors et je me dirigeais vers la plaine aux cerfs. J'espérais trouver quelque chose dans cette plaine. Je me mis à sentir les environs, puis je remarquais qu'un troupeau pas de cerfs, mais de daims venait de passer, il n'y a pas longtemps. Je marchais un moment et je me dirigeais vers une petite clairière plus loin et je me cachais et j'attendis. Après, quelques minutes, un petit troupeau de daims passait par là. Alors, tout en restant cachée, j'étirais ma tête et je jetais un œil sur les animaux. Il y avait un mâle, avec un bon panache, puis il semblait être très en forme. Je réfléchissais, j'avais envie de prendre lui comme proie, mais je crois qu'il est beaucoup plus fort et vaillant que je pense et ce serait sans doute dangereux pour moi.
Je m'assis et regarda les autres animaux qui étaient les femelles avec des petits, mais je vis une femelle qui semblait quand même âgée et peut-être un peu souffrante, elle semblait boiter, alors je décidais de prendre elle comme proie. Je partis à la chasse et quand les daims me virent, ils s'éparpillèrent, mais la femelle que j'avais repérée semblait avoir de la misère à suivre le reste du groupe.
Sujet: Re: Une chasse en pleine sécheresse Mer 20 Aoû - 20:46
Contexte
"Petite phrase"
Je la rattrapais rapidement, car elle avait de la misère à suivre la cadence, et j'allais l'avoir. Je la fis courir, un bon moment pour l'épuiser et je l'emmenais dans un coin, elle ne pouvait pas aller ni d'un bord, ni de l'autre. La femelle était coincée, alors elle devait savoir que sa vie ne tenait maintenant qu'à un fil. Alors, je montrais les crocs et je pris les devants, je sautais sur la biche et je pris sa gorge, alors, à cause de mon poids, la biche perdit l'équilibre. Alors, je resserrais ma prise sur sa gorge et elle finit par mourir d'étouffement. Malgré la chaleur qui faisait, j'avais réussi ma chasse et cela m'avait fait du bien. Alors, la prenant par une patte arrière, je la traînais jusqu'à la tanière.