une rencontre sous le vent salin [prio Arès]

Des vagues se brisèrent contre des falaises, d'autres s'écoulaient calmement sur la plage. Toujours accompagné d'un vent salin, cette air qui nous fait tant de bien. C'était un lieu calme, paisible, un endroit où l'on pouvait s'amuser, se changer les idées, entamer une sieste et tant d'autres activités !

La plage était longue, elle allait très loin, à perte de vue. Un peu plus loin de l'eau, à la bordure du sable blanc, se dressait un loup, c'était moi dont il était sujet ! Je mettais installé ici pour un certain temps. Un lieu que j'appréciais. J'étais assis, les yeux fermés, perdu dans mes pensées. L'ambiance de la mer m'apaisais confortablement, comme dans le passé. Tandis que mes sens fut toujours aux aguets au moindre danger, j'étais en net confiance. Je pensais à beaucoup de chose, à mes ambitions, mes projets.

Puis je me levais et me mis à trottiner en m'approchant de la mer, jusqu'à marcher dans l'eau. L'eau fut belle et transparente. Ah ba oui, quand les bipèdes était absent, la pollution n'existait pas et la mer resta pur pour toujours. Je regardais mon reflet sur l'eau, un peu déformé par les vagues, je pouvais y voir mon visage avec mes motifs caractéristique et mes yeux dorés irrésistible pouvant faire succomber n'importe quelle louve de la meute...ou du coin.

Chacun de mes pas formèrent de légère éclaboussure. La mer était un peu froide, mais cela ne me posait pas de soucis, je me mis à longer tout au long de la plage avec une démarche plutôt tranquille. Même si j'étais toujours pensif, j'étais toujours prêt au moindre attaque, m'attaquer étant fortement déconseillé, je connais toujours des techniques de combats, pour attaquer ou pour contrer une attaque et enchaîner des coups en un temps limité, cela était mon domaine, et je laissais rarement de faille à mes adversaires. Mais ce jour n'avait pas l'air d'être une journée hostile.

Un petit rocher dépassé du sable, je sautai d'un bon puissant pour être dessus, j'étais assis tranquillement et j'observais les environs, j'aimais beaucoup les points de vue. Mon coté observateur me donnait un bon sens de l'orientation et de stratégie. Je restais là pour un petit moment, je regardais la mer tout aussi calme qu'un agneau. Du moins plus calme que les régénats comme m'avait raconté le prophète. Il y avait de l'animation dans cet île apparemment.

Mais une chose m'interpellais, je sentais une odeur, certainement un loup dans les parages, celui d'un Annalee, j'en avais pas mal croisé ces temps-ci...