Vous êtes un loup, encore dans votre lieu d'habitation. Votre plus grande force est une qualité bien particulière. Vous êtes le plus rapide ou le plus fort, le plus diplomate ou le plus roublard... Cette qualité est votre "qualité élite", où vous surpassez les autres loups autour de vous.
Une île existe, loin de chez vous. Les loups y sont enlevés par une force inconnue. Tous ont, comme vous une qualité élite. Si deux meutes sont dirigées par des louves, une reste sans Alpha, laissant ses membres perdus, et sans ressource.
Somnolent, vous allez vous coucher... Vous réveillerez-vous au même endroit ou sur cette île au milieu de l'océan ?
Sarkan
Bienvenue sur Sarkan !
Vous êtes un loup, encore dans votre lieu d'habitation. Votre plus grande force est une qualité bien particulière. Vous êtes le plus rapide ou le plus fort, le plus diplomate ou le plus roublard... Cette qualité est votre "qualité élite", où vous surpassez les autres loups autour de vous.
Une île existe, loin de chez vous. Les loups y sont enlevés par une force inconnue. Tous ont, comme vous une qualité élite. Si deux meutes sont dirigées par des louves, une reste sans Alpha, laissant ses membres perdus, et sans ressource.
Somnolent, vous allez vous coucher... Vous réveillerez-vous au même endroit ou sur cette île au milieu de l'océan ?
Draugluin se présenta sur la plage. La lune était étouffée par des bandes de nuage noir. La marée baissait. Il ne lui manquerait que quelques minutes, peut-être une heure, avant de pouvoir traverser. A lui Neona Sarkan ensuite.
La nuit était tombée depuis environ deux heures, elle était jeune. Le ciel était chargé malgré tout, sans être pluvieux.
Il se mit à faire les cent pas sur la plage, humant l'air, s'ennuyant. Un peu de divertissement ne serait pas de refus. A vrai dire, un peu de bagarre ou mieux, une saillie, lui ferait plaisir. Tout dépendrait du sexe de la compagnie. Au pire, il irait le ou la débusquer si la compagnie en question attendait trop.
Plus le temps, passait, plus que je m'en doutais que Kenshin ne reviendrait jamais. Je soupirais, j'étais seule et vraiment seule. Alors, à la nuit tombée, je revenais de Neona Sarkan et j'allais retourner à la tanière, je venais d'arriver sur la plage mais étrangement, ce soir, elle me paraissait pas très sécuritaire et effrayante. De plus, est, il avait vraiment beaucoup de corbeaux, ils me cassaient les oreilles mais je voulais me dépêcher pour retrouver la tanière.
Ce soir, je n'avais pas confiance en cette plage et je ne savais pas pourquoi. Alors, j'accélérais le pasj pris presque mes pattes à mon cou puis j'allais vers la meute, mais une grande silhouette arriva de nulle part devant moi, alors pour éviter de lui rentrer dedans je freinais et je regardais ce que c'était. Quand je le vis, je poussais un couinement de frayeur.
"Qu'Est-ce que vous êtes?"
J'avais peur, mais j'avais envie de fuir mais j'étais comme paralysée. C'était un loup énorme à la fourrure noire et hirsute, il avait des yeux rouges et des énormes crocs. Je glapis de peur, puis je restais là, j'avais envie d'hurler à l'aide.
Toujours cette question. Ca en devenait lassant, mais après tout, bande de petits loups, ils ne pouvaient pas savoir. Lui se contentait de voir qu'il pouvait faire ce qu'il souhaitait.
Mais en tout cas, lui savait ce qu'elle était. Une louve. Une louve apeurée en plus de ça. Lui qui avait envie de se divertir se sentait plutôt enclin à se "détendre" en sa compagnie. Il se sentait même particulièrement tendu.
La toisant, il observa la totalité de son corps avec une lenteur obscène avant de la fixer à nouveau dans les yeux et de gronder, gueule à peine entrouverte. Il ne bougea pas tout de suite mais si elle restait immobile, il la forcerait, comme les autres, à porter son rejeton.
Je continuais de le regarder, il me faisait vraiment peur, c'était un monstre, déguisé en loup. Alors, je me reculais de quelques pas, mais une branche ou peu importe, une chose qui traînait sur la plage me fit trébucher, alors je gisais sur le flanc, alors je me relevais avec vitesse et voulait fuir, mais je ne pouvais pas bouger. Il grondait puis je sentis son haleine dégueulasse , cela sentait vraiment la charogne.
Ensuite, je le fis qu'il me fixait et me regardait tout le long de mon corps, alors, j'avais plus peur encore de ce qu'il pouvait m'arriver. Je me mis à trembler comme une feuille, et j'avais peur, mais que me voulait-t-il. Alors, je le voyais assez proche de moi, alors je me couchais sur le sol et fermait mes yeux bleus saphir. Puis, d'une petite voix, je le suppliais de me laisser tranquille.
"Je vous en prie laissez moi tranquille, je ne cherche pas la bagarre."
Ma queue était entre mes pattes masquant mon arrière-train puis je continuais de supplier le loup noir, j'espérais avoir fait un cauchemar ou découvrir que c'était une simple hallucination de ma part. Alors, j'avais peur et je tremblais de tout mes membres, je priais pour qu'il ne soit pas réel. C'était lui qui faisait de la plage un endroit qui n'était pas sécuritaire et sinistre et les corbeaux qui continuaient de croasser.
Draugluin sentit presque un frisson d'anticipation lui vriller l'échine en l'entendant supplier. Sa langue passa sur ses babines et il marcha, bien décidé, vers son arrière train. Sans même attendre d'être arrivé vraiment derrière, il l'enjamba et acheva son petit "manège" une fois sûr qu'elle ne bougerait pas, la nuque serrée entre ses crocs.
Il mit quelques secondes avant de trouver le bon angle, puis força. Le désir de vie des loups était fort, la plupart du temps, ou en tout cas chez les louves qu'il avait croisé. Un grognement contre sa nuque, sa salive poissant sa fourrure, Draugluir se dit que cela devrait suffire à la faire capituler. Il lui suffisait après tout de décaler sa queue et de se laisser gentiment faire, comme la petite suppliante qu'elle était.
Après tout, lui non plus ne cherchait pas la bagarre.
[Si tu cèdes au prochain messages, tu peux aussi lancer le dé]
Alors, je le regardais de mes yeux saphir le suppliant de me laisser tranquille. Ensuite, il fit le tour de moi, puis il vint se poster en arrière de moi. Je réussis à me décaler et j'allais me relever, mais il était plus rapide, il était déjà par-dessus moi, puis il avait pris ma nuque entre ses crocs, sans aucune douceur. Je couinais de douleur, puis j'essayais de me déplacer, mais il était vraiment lourd. Je n'étais pas capable de le pousser. Alors, il essaya de trouver le bon angle, car j'avais déjà ma queue qui masquait mon arrière-train.
Alors, de plus est, il me faisait vraiment mal, puis je ne pouvais pas faire grand chose, alors ma queue se décalait d'elle-même, puis je fermais les yeux, attendant la suite. Sans prévenir et sans douceur, je le sentis s'enfoncer et me faire vraiment mal, je poussais des glapissements de douleur, je n'avais jamais été saillie de ma vie et celle-ci ma première fois, resterait à jamais marquée dans ma tête. Je ne voudrais plus jamais un loup s'approche de ma croupe, plus jamais. Alors, je posais mon museau sur mes pattes, puis fermais les yeux, des larmes silencieuses coulaient sur mes joues. Me voilà salie à jamais et par-dessus le marché, j'avais été violée.
Draugluin descendit et s'ébroua. Une bonne chose de faite ! Son regard se porta vers la zone de sable découverte et il se mit à marcher dans cette direction, comme si de rien était.
Le compte dans sa tête passa à +1.
Son poil ébouriffé, la tête haute, il se rendit sur le petit continent en face de l'île principale, traversant le détroit à sec.
Quand il descendit de mon dos, il semblait heureux et content et moi je poussais un soupir de soulagement. Ensuite, je me relevais puis je laissais les larmes couler, j'avais été souillée vraiment d'aplomb par un loup mauvais et de plus est, très laid et qui faisait peur. Je le regardais s'en aller puis j'étais soulagée et la plage reprit son air habituel. J'étais là pantelante, puis ensuite, je poussais un hurlement déchirant puis ensuite, tête et queue basse, je rentrais à la tanière, salie et pleine maintenant. La plage sous la lune s'éloignait et la tanière se rapprochait.