Une rencontre quoique terrifiante

C'était le crépuscule et je retournais à la tanière après une chasse qui s'était révélée infructueuse. Je voulais aller me reposer et manger des proies que nous avions dans la tanière, même si j'aurai aimé en ramener une, mais la chance n'avait pas été avec moi. Alors, je marchais d'un pas, malgré les croassements des corbeaux, qui m'irritaient au plus profond de moi. Je couchais les oreilles et aboya contre les corbeaux. Je voulais les faire fuir, mais les corbeaux se taisaient puis ils reprenaient. Je grondais contre eux, puis j'accéléra le pas, mais quelque chose me fit arrêter, derrière des arbres non loin de la kailash, je crus voir une silhouette, mais c'était trop loin, je ne savais pas ce que c'était, il semblait trop gros pour un loup, cela pouvait être autre chose, alors je décidais de rester sur mes gardes. Je voyais la silhouette se rapprocher. Étrangement, plus elle s'approchait et plus les corbeaux croassaient de plus belle et plus fort. Je jappais une autre fois puis je grondais de mécontentement.

Je continuais de gronder puis de gronder et d'aboyer, mais la silhouette se rapprocha davantage, puis elle était proche, puis elle faisait peur. Quand, il était arrivé devant moi, je le regardais, il n'avait pas la taille d'un loup, il était bien plus gros que moi, puis il avait la fourrure noire et hirsute, puis des yeux rouges qui vous donnaient froid dans le dos. Je sentis mon corps se tendre à sa vue puis des frissons de frayeur me parcouraient le corps.

"Qu'Est-ce que c'est que ça, vous êtes pas un loup certain, même si vous en avez l'apparence."

Alors, je poussais un léger couinement, ce n'était pas moi, habituellement, je n'avais peur de rien, mais ce loup, oui me faisait peur. Comme un chiot qui venait de désobéir, je me couchais sur le sol, puis mit ma queue en mes pattes. J'avais envie de m'enfuir, mais je ne pouvais pas bouger.

Je me repris et me releva, puis je gonflais mon collier et je grondais de plus belle puis ensuite, c'est lui qui me fit encore peur, je pouvais voir toute la haine qu'il avait dans les yeux, mais je n'allais pas me laisser intimider mais j'avoue que je faisais pitié devant lui, mais je n'allais pas l'attaquer, mais j'avais peur des frisons me parcouraient l,échine. Je grondais et je le regardais, mais étant donné que je n'étais pas de taille à combattre avec lui, je poussais des grondements de nouveau sourds et rageurs même si j'avais peur, mais je partis sans demander mon reste, je ne voulais pas mourir ce soir. Je partis et le dépassait puis me dirigeait vers la tanière à toute vitesse.