Cette peur, elle ne m'a envahie qu'une fois. [Draugluin]

La taïga du silence, un endroit bien effrayent la nuit. Mais c’est l’un des seuls endroit où je me sent bien, car il y fait froid. C’est d’ailleurs ce qui m’a pousser à venir ici, mais le territoire de Selene et Zoran à plusieurs endroit où il y fait frais, alors pourquoi un endroit si silencieux ? Si on m’attaque, personne ne va m’entendre. Mais je n’ai peur de rien, ça non. Je sait me défendre contre n’importe qui et n’importe quoi. Mais soudain je repense à quelque chose, un loup. Il parais qu’il à les yeux rouges et qu’il à le pelage noir. Celui qui ose l’entendre est comme paralysé jusqu’à ce qu’il s’en aille. Si il était près de moi ? Peut-être tu t-il les autres loups ?

Même si mon écouter est inutile dans cette forêt, j’entends tout de même des croassements de corbeau, et leur battement d'aile par dizaines. Mais j'aurais du m'en douter. Même si les corbeau étouffe les bruits de pas, mon odorat reste intacte. L'odeur, l'odeur d'un autre loup dont je n'ose même pas imaginer la carrure. Les oiseaux au noir d'ébène s'envolent vers le ciel, me laissent face à l'abomination. Je me sent prise par les griffes de la peur et cesse pendant un instant de respirer. Il est à quelques mètres de moi, mais même si j'ai peur, je vais essayer de... enfaite je ne sait pas. Face à cette masse sombre, je ne peut rien. C'est un loup bien trop imposent. Mais ai-se vraiment un loup ? Pour moi, ce n'est que la mort incarnée. Il sème le chaos, et bien plus que moi. Malgré ma peur envers lui, je ne baisse pas la queue mais la laisse droite, d'une posture franche. Peut-être s'en ira t'il si je ne me soumet pas à lui ? Je lâche un tout petit grondement sourd, espérant qu'il ne l'est pas entendu. Ses yeux rouges scintillent dans la nuit, tel des yeux remplis de sang. Et cette couleur qui m'attire tellement d'habitude, me fait peur aujourd'hui.

Mais c'est seulement quand il grogna et se mit en posture bien plus dominante qu'il ne l'était déjà que ma queue se baissa un peu plus, mais pas totalement. Je ne suis pas prête à me soumettre à lui, pas encore. Puis il se met à gronder,un grondement tellement puissent que je suis sûre que la meute de Selene et Zoran on entendu, malgré toute la neige qui étouffe d'ordinaire les bruits. Et c'est seulement là que je baisse complètement la queue et couche les oreilles. Car oui, il m'arrive d'avoir peur. Mais cette peur... C'est quelque chose de complètement différent des autres peurs. Là, je me refuse à bouger, trop terrifiée. Mais j'ose prononcer quelques mots.

Dis-je tout doucement. Je ne suis même pas sûre que cette chose me réponde.

La question est une faute. Il ne me répond pas mais fait un bond et atterrit devant mon arrière train et monte sur mon dos. Il se place en fasse de mon bassin puis presse et force avec le sien. Voilà ce qu'il voulais. Me saillir, n'étant même pas en période de chaleurs. Et je me réveille. Nan mais il fait quoi là ?! Ses mâchoire m'agrippes le cou, et non pas avec douceur mais avec férocité. Au lieu de lâché un glapissement de douleur, je lâche un grondement de fureur et m'assois pour ne pas le laisser faire. Étant assise, il ne pourra plus me saillir. La différence entre me coucher et m'assoir est que si je m'assois, mon cou ne bouge pas, alors que coucher, j'était presque sûre de mourir car mon cou aurais bouger. Et même si ma vie est entre les crocs de l'abomination, je ne veut pas d'un petit qui sera rejeté jusqu'à la fin de sa vie. Je ne veut pas de petit tout court. Mais j'ai tout de même affreusement peur. Que va t-il m'arriver ?

Le mâle lève ses pattes avants, ne lâchant pas ma nuque et me laboure le dos. Je voie mes poils qui voles et panique encore un peu plus. Il serra sa mâchoire sur mon cou, puis il le tordit un peu. Si il veut vraiment me tuer, il n'a qu'a pencher sa tête sur le coté. J'ai tellement peur qu'il est presque impossible pour moi de bouger. Mais si je veut qu'il me relâche, je doit me relever. Je le fait tout en douceur. La peur m'étouffe et j'ai peur qu'il me brise la nuque. Ma queue se met de coté toute seule, tellement j'ai peur de cet chose. Je sent son poil sale et les gouttes de salivent qu'il laisse tombé à chaque fois qu'il se lèche les babines.