Sarkan
Bienvenue sur Sarkan !

Vous êtes un loup, encore dans votre lieu d'habitation. Votre plus grande force est une qualité bien particulière. Vous êtes le plus rapide ou le plus fort, le plus diplomate ou le plus roublard... Cette qualité est votre "qualité élite", où vous surpassez les autres loups autour de vous.

Une île existe, loin de chez vous. Les loups y sont enlevés par une force inconnue. Tous ont, comme vous une qualité élite. Si deux meutes sont dirigées par des louves, une reste sans Alpha, laissant ses membres perdus, et sans ressource.

Somnolent, vous allez vous coucher... Vous réveillerez-vous au même endroit ou sur cette île au milieu de l'océan ?
Sarkan
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Vous êtes un loup, encore dans votre lieu d'habitation. Votre plus grande force est une qualité bien particulière. Vous êtes le plus rapide ou le plus fort, le plus diplomate ou le plus roublard... Cette qualité est votre "qualité élite", où vous surpassez les autres loups autour de vous.

Une île existe, loin de chez vous. Les loups y sont enlevés par une force inconnue. Tous ont, comme vous une qualité élite. Si deux meutes sont dirigées par des louves, une reste sans Alpha, laissant ses membres perdus, et sans ressource.

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Sarkan

L'île déserte et paisible au milieu de l'océan
 
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 C'est l'inconnu qui nous fait peur quand nous contemplons la mort ou l'obscurité, rien d'autre ♣ libre

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Jayden
Trace fraîche
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JAYDEN - LIBRE



Le crépuscule s’enracine sur les terres et darde la forêt de ses ultimes reflets. Les feuilles prennent des teintes cupriques et flavescentes tandis que le ciel revêt ses apparats les plus raffinés, aux bordures ambrées et aux couleurs rutilantes. Tout flamboie. L’air lui-même semble déflagrer devant la sublimation de la nature. Fou de douleur à chacun de mes pas, je serre les crocs pour ne pas hurler mais c’est plus fort que moi. Des gémissements viennent briser le silence à intervalles irréguliers et je continue d’avancer, ignorant les traces de sang que je laisse dans mon sillage. Je poursuis mon ascension coûte que coûte, titubant et vacillant la plupart du temps, mais jamais je n’abandonne. Enfin, c’est plus fort que moi, j’éclate d’un rire sans joie qui retentit en échos incertains au cœur de la forêt. Comment ai-je pu y croire une seule seconde ? Bien sûr que ma vie sera un enfer, et elle le sera encore, pour le peu de temps qu’il me reste à vivre. Je n’ai pas besoin d’être savant pour comprendre que je suis en train de crever. Je suis seul, blessé, livré à moi-même en territoire ennemi et personne n’est là pour me prêter main forte. Je serai sûrement mort avant que le soleil soit à son zénith.

« La mort n'est que la traversée du monde comme des amis traversent les mers, n'est-ce pas ? » soufflé-je entre mes crocs, le visage tordu par la souffrance. « Est-ce que je vais te rejoindre, mon vieux, est-ce que je vais te rejoindre ? » J’esquisse un sourire dément, les babines retroussées. « Mais oui, on va crever tous les deux. Je croyais que c’était soit toi soit moi, mais tu vois, c’est nous deux, ensemble. J’ai beau être encore envie, tu m’as salement amoché et tu sais tout comme moi que je ne m’en sortirai pas. »

Je ne voulais pas en arriver là. Quand je l’ai combattu, quand j’ai combattu ce foutu solitaire, j’ai senti le désir de vivre qui brûlait, qui bouillonnait en moi. Je ne voulais pas mourir et encore maintenant, je ne veux pas mourir. Chaque fibre de mon corps vibrait à l’unisson. Je ne cessais de me répéter que je devais vivre ma vie à la lumière de mon désespoir et je réalisais que la vie était faite de choix : oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Mais j'apprends maintenant que la décision de vie ou de mort nous appartient rarement. Je n'ai pas mon mot à dire et je dois me contenter d'agoniser sans rien pouvoir faire, c'est ça la triste vérité.
En même temps, pour la première fois, je me rends compte que ma meute natale m’a enseigné une leçon essentielle : continuer à avancer. Je ne sais pas si j’en aurais été capable sans ça. Exténué, j’ai l’impression qu’un étau se resserre sur moi, me comprime, me fait suffoquer et m’empêche de respirer. Il me semble alors que tout bascule autour de moi et que le sol lui-même s’ouvre comme un gouffre béant. Je me sens défaillir et, pourtant, je n’esquisse pas le moindre mouvement. La lumière du crépuscule m’aveugle. Elle recouvre mes yeux d’un voile blanc et je ne sens plus que mon cœur qui bat à tout rompre dans ma poitrine. Ma bouche est sèche et la seule chose dont j’ai envie en ce moment, c’est de boire. Je m’affale par terre dans un grognement. Il faut que je continue, il le faut ! Mais mon corps refuse d’obéir et finalement, je me sens partir, loin, très loin d’ici. Au bout de quelques secondes, mes yeux se ferment et tout disparaît.

Quelques temps plus tard.

Je m'éveille avec son nom à la bouche. Mon bourreau. Les yeux fermés, je revois la scène. Le sang. La fuite. Je suis un lâche.
Je gonfle mes poumons et je bloque ma respiration dans l’espoir de soulager un peu le poids qui m’oppresse. J’ai l’impression de me trouver compressé dans un étau dont je ne pourrais jamais m’échapper. Il y a encore quelques temps, rien de ce qui était arrivé ne me semblait réel. Maintenant si. Plus que jamais, tout me parait réel. J’expire, et le poids est toujours là. Oppressant. Un pâle rai de lumière m’éblouit tandis que mes paupières s’ouvrent et se referment dans un rythme effréné. Une fatigue inhabituelle s’empare de mon être et me berce implacablement. Les fragrances automnales parviennent à mes narines évasées. C’est un air doux, chargé d’odeurs changeantes, musqué des exhalaisons forestières que dégage l’antre sylvestre.
Et soudain, je me redresse vivement, affolé. Je ne reconnais plus rien. Ici, une épaisse couche de neige recouvre le sol alors que l’endroit que j’ai quitté fleurait encore les beaux jours d’été. Je me prends à frémir d’effroi et mon cœur, lui, finit par s’emballer. Je suis perdu.

Une heure plus tard.

Encore une fois, je suis seul, blessé et livré à moi-même. J’ai abandonné l’idée de savoir où je me trouve en ce moment-même. J’ai beau tourner en rond malgré la douleur qui me submerge à chaque pas, j'ai beau explorer les environs, je ne trouve rien. Je n’ai qu’à me dire que tout ça n’est qu’un mauvais rêve, et que je finirais bien par me réveiller.
Je contemple un instant mon reflet, penché au-dessus de l’eau. Ma bouche se tord en une lippe cauteleuse, en une grimace de dégoût, du dégoût que m’inspire mon existence. Après tout, je suis faible et je ne suis pas courageux. Au cours de ma vie, j’ai appris que, parfois, le courage, c'est juste de serrer les dents contre la souffrance, et de s'efforcer d'avancer au jour le jour, lentement, vers une vie meilleure. Alors oui, je maintiens ce que je dis. Je n’ai rien de courageux en moi. Je reste obstinément focalisé sur les événements du passé. Je sais que je ne pourrais pas vivre tant que je n’aurais pas fait couler le sang. Son sang. Mais malgré ça, j’ai une volonté de fer et elle ne faiblit pas. Je le tuerai. Je me le promets. A ces pensées, je me rappelle des paroles qu’un ancien m’avait soufflé, un jour pluvieux, après que je me sois confié à lui. Je m’en souviens comme si c’était hier. « La colère décuple ta puissance mais si tu la laisses te dominer, elle va te détruire. » Je respire un grand coup. Il avait raison. Je dois maîtriser la bête qui, en moi, gronde, rugit et se débat. Je ne dois pas laisser Tobias aller et venir comme bon lui semble. Il en va de ma propre vie, de ma misérable existence.
J'expire longuement, en ignorant encore que mon arrivée sur cette île va considérablement me changer, en ignorant encore que je ne retournerai jamais parmi les miens, vers ma terre natale.

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Star's End
Griffes affûtées
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Star's End


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Il était difficile de croire que l'automne était là. En fait, tout laissait à penser que Sarkan était passé directement de l'été à l'hiver, tant les températures qui régnaient sur l'île - sur les deux îles - étaient anormalement basses. Cela faisait plusieurs semaines que l'air était devenu glacial, et que la neige avait recouvert toute la partie nord de l'île. Bien sûr, le Kohinoor était habitué aux climats froids; ses terres étaient enneigées pratiquement toute l'année, mis à part la Steppe des Nuages qui se parait d'émeraude à la venue du printemps. Mais de nombreux records avaient déjà dû être pulvérisés cette année. Il faisait froid. Très froid. Et tôt, beaucoup trop tôt et trop rapidement pour que les loups vivant dans le Nord aient eu le temps de voir leur fourrure s'épaissir. Les loups arctiques qui composaient la majeure partie de la meute, et qui étaient tout à fait capable de supporter les températures qui régnaient actuellement sur les terres du Kohinoor, avaient froid eux aussi; la chute des températures avait tout simplement été trop brutale pour qu'ils puissent s'y adapter.

Et Star's End n'était pas un loup arctique. Né dans le nord du Canada, il n'aimait rien tant que le crissement de la neige sous ses pattes et les stalactites illuminées par le soleil. Le mâle était lui aussi à son aise au milieu de la glace et du vent froid de l'hiver, sa fourrure était bien fournie et capable, sans égaler celle d'un loup arctique, de le protéger à merveille des rigueurs de l'hiver. Cependant, lui non plus n'avait pu suivre l'incroyable coup de froid que subissait l'île de Sarkan. De plus, sa fourrure s'épaississait moins vite que celle d'un loup arctique, car dans le Canada le saison morte ne se répandait pas d'un coup sur les terres; et il était fréquent pour sa meute de redescendre un peu vers le sud à l'occasion d'une descente trop rapide des températures. Résultat, alors que nombre de ses camarades commençaient à se sentir plus ou moins au chaud dans leur fourrure blanche, le loup gris cendré était toujours essentiellement congelé. Il ne pouvait que prier afin que son poil se décide enfin à se préparer pour l'hiver.

Malgré tout, le mâle n'était contrarié de cet état de fait que lorsqu'il sortait de son petit nid douillet. Le loup du Canada savait se protéger des froids polaires; il ne connaissait que trop bien la façon dont on pouvait creuser un trou dans la neige et s'y enterrer, afin de profiter de la couverture neigeuse qui retenait la chaleur du corps. C'est pourquoi il passait désormais la majeure partie de la journée à dormir, pelotonné dans un creux. Chose qui, d'ailleurs, le ravissait. Rien ne plaisait autant au loup gris cendré que de dormir. C'était là la meilleure activité au monde. Star's End saisissait systématiquement la moindre occasion de piquer un petit roupillon, et était un grand adorateur de la Pause, qu'il multipliait sans vergogne dès qu'il avait ne serait-ce qu'une micro-raison de s'y adonner. Par exemple, une branche d'arbre lui barrait le passage: c'était clairement un signe qu'il ne devait pas passer par là, autant se reposer quelques minutes afin de déterminer quelle était la meilleure façon d'agir. Minutes qui devenaient assez aisément des heures...

Autrement dit, être contraint par le froid de rester majoritairement inactif correspondait tout à fait aux goûts de Star's End.

Malheureusement, il ne pouvait pas se contenter d'attendre que le temps passe. IL avait des responsabilités en tant que chasseur du Kohinoor. Autrefois - dans ce qui semblait être une autre vie - il ne chassait que pour conserver sa place dans la meute. La chasse était pour lui une dépense d'énergie comme une autre, c'est-à-dire une situation à abhorrer. Il n'était devenu compétent en la matière que pour une seule raison: à force de le faire, c'est-à-dire par expérience. Désormais, il chassait parce qu'il voulait sincèrement contribuer à la survie de la meute et à sa prospérité. C'était quelque chose de vraiment nouveau et extraordinaire pour le loup gris cendré, car cela impliquait qu'il fasse volontairement des efforts. Un comble pour ce fainéant professionnel. Mais, curieusement, il y prenait plaisir. Se rendre utile était... agréable. Il se sentait à l'aise au sein de la meute, et vouait une confiance absolue à l'Alpha, Selene. Cette conviction avait été renforcée lors du dernier rassemblement de la meute, où il avait pris son parti contre Somewhere, le Gamma déchu qui avait tenté de prendre la place de l'Alpha.

Et c'est pour cela que Star's End était sorti dans le froid: la meute avait faim, et il allait être nécessaire d'abattre du gibier - du gros gibier, si possible - pour la nourrir. Le mâle était donc parti en reconnaissance afin de localiser le gibier en question. S'il le trouvait, il était fort probable que l'Alpha décide de rassembler la meute pour le mettre à mort et nourrir toutes les gueules affamées qui composaient le Kohinoor. Bien sûr, il n'était pas le seul chasseur de la meute, et il ne serait peut-être pas celui qui trouverait une proie adaptée. Le mâle se moquait bien d'être celui qui dénicherait la source de nourriture qui sauverait la meute, car il ne recherchait ni gloire ni reconnaissance, et était simplement satisfait de voir la meute en bonne santé. Tout ce qui importait, c'était de trouver à manger - et vite. Star's End lui-même, malgré les économies considérables d'énergie qu'il effectuait chaque jour de part la grande proportion d'heures de sommeil qu'il casait en une journée, commençait à avoir faim. Ce n'était pas critique et n'entamait pas ses forces, mais c'était loin d'être agréable.

Et cela le rendait plus déterminé à repousser toute intrusion sur le territoire de sa meute. Le loup gris cendré n'était pas, par nature, un combattant, mais sa férocité et sa vitesse aux débuts d'un affrontement lui avaient déjà permis de remporter quelques victoires. Peu endurant, le mâle était rapidement épuisé, aussi devait-il impérativement prendre le dessus dès le départ et vaincre dans la foulée. Sinon, le combat était perdu. Mais ce qui repoussait le plus le mâle dans l'idée d'une bagarre, c'était bien l'effort qu'une telle chose réclamait... raison pour laquelle il ne s'était jamais entraîné en la matière. Toutefois, ne pas faire l'effort de chasser un intrus n'était guère rentable: si l'intrus en question volait des proies, Star's End devrait redoubler d'énergie pour en dénicher d'autres... alors autant attaquer le voleur avant qu'il ne puisse commettre des dégâts.

C'est avec cette idée en tête que le loup gris cendré suivit la piste laissé par un mâle n'appartenant définitivement pas à la meute du Kohinoor. Il était tombé dessus par hasard, mais était désormais déterminé à retrouver cet inconnu et à lui demander poliment, tous crocs dehors, ce qu'il faisait là. Sa piste n'était guère difficile à suivre, le mâle ne semblait pas prendre de précautions, et il y avait quelques taches de sang par-ci par-là - du sang de loup... la grande question était de savoir si l'intrus était blessé ou s'il avait blessé quelqu'un. Star's End rejoignit ainsi la Kailash, la rivière qui courait sur le territoire de sa meute et donc l'eau était, par endroits, entièrement prise dans la glace - et extrêmement froide partout ailleurs. Enfin, le chasseur vit l'inconnu. Il s'agissait d'un loup arctique. Manifestement, il n'était pas en très bon état; peut-être avait-il déjà croisé un autre loup du Kohinoor? C'était peu probable. Si un membre de la meute n'avait pas réussi à le faire partir, il aurait appelé le reste de la meute à l'aide; et aucun hurlement n'avait retentit dans le ciel. Alors quoi? Peut-être que le loup noir était revenu. Star's End frissonna à cette pensée, son arrière-train conservait encore le souvenir de la rencontre avec ce monstre...

De toute façon, il n'y avait pas trente-six façons d'avoir la réponse à car à ces questions. Star's End s'avança vers le mâle inconnu, méfiant. Il ne chercha pas à dissimuler son arrivée et fit de son mieux pour paraître plus impressionnant, gonflant son poil et se tenant droit face à l'intrus.

« Qui es-tu et que fais-tu sur le territoire du Kohinoor? » demanda-t-il en oubliant de gronder.

Eh oui, le mâle n'était guère habitué à faire preuve d'agressivité, c'était même tout le contraire. Il avait tellement tendance à fuir toute marque d'hostilité qu'au bout d'un moment il ne les remarquait même plus. Cependant, il était décidé à faire un effort - sacrifice suprême - pour le bien de sa meute.

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